miércoles, 21 de octubre de 2009

Comentarios sobre la Ley de Derechos Sexuales

Comentarios del Dr. Enrique de Mestral, representando a la Asociación de Estudios Bioéticos, en audiencia pública del Parlamento de la República del Paraguay en ocasión de la discusión del Proyecto de Ley de Salud Reproductiva y Derechos sexuales del Senador Filizzola el 14 de octubre de 2009. Dos minutos de tiempo otorgados.

“Quiero referirme al Art. 6 que habla de la realización plena de la sexualidad o del libre ejercicio de la sexualidad como es el caso del Art. 1 en el inciso (d). Debemos aceptar que tenemos una libertad limitada por la ignorancia, la falibilidad y porque nuestra voluntad va mas allá de nuestro entendimiento, como decía Aristóteles. En la sexualidad también estamos limitados porque no podemos comportarnos fuera o por debajo de nuestra dignidad racional pues caminaríamos por nuestro capricho e iríamos a la ruina al decir de Secundino Núñez.

La naturaleza ha previsto que sea la mujer la portadora de una nueva vida y ella no puede disponer totalmente de su cuerpo pidiendo por ejemplo que se le ampute una mano, menos aun puede disponer de la vida que lleva adentro, que es otra persona, con otro genoma, con otro sexo inclusive en la mitad de los casos.

Tampoco podemos fabricarnos géneros fuera de los dos sexos: varón y mujer. No se crean que seremos más adelantados al inventarnos situaciones que pervierten la dignidad humana.

Toda la civilización puede resumirse en el respeto al más débil. Así lo hacen el derecho, el voto, la medicina y el cristianismo. Si en el mismo Parlamento que es la representación de la democracia decidimos eliminar a los débiles, hoy a los embriones, mañana será a los pacientes terminales y ancianos, estamos socavando los mismos cimientos de la vida democrática.

Con honestidad podemos ver en nuestras conciencias que la persona y la sociedad deben discernir que no es toda idea novedosa la que conviene a nuestra dignidad y a la justicia.

Por otro lado, el Art. 9 tiene una contradicción mayor que es la de ofrecer tratamientos de esterilidad sin discriminación de identidad de género, cuando que existen géneros que no podrán nunca procrear como es el caso de los homosexuales y tal vez los transexuales.”

domingo, 13 de septiembre de 2009

Logothérapie de Viktor Frankl

Enrique de Mestral

Nos raisons de vivre, à l’école du sens de la vie

La logothérapie se préoccupe des aspirations et des frustrations existentielles du patient.
La vie a un sens qui est inconditionnel, jusqu’au dernier moment, jusqu’au dernier souffle et que la mort elle même peut être dotée de sens.
Ce sens doit être trouvé et en aucun cas donné. Le psychothérapeute ne doit pas imposer ses valeurs a un patient.
Il faut développer des esprits indépendants et inventifs, capables d’innovation et créativité.
Freud a assigné sa place a la religion, en la rangeant dans la catégorie de la névrose de l’espèce humaine…
Le principe de plaisir freudien oriente la vie du jeune enfant, tandis que le principe de puissance aldérien caractérise la vie de l’adolescent, et qu’enfin la volonté de sens constitue le principe organisateur de l’existence adulte.
La dimension du sens ne se manifeste qu’un stade avancé de développement.
On peut définir les valeurs comme l’ensemble des significations universelles qui se cristallisent dans les situations caractéristiques d’une société, auxquelles l’humanité dans s9on ensemble est appelée a se confronter.
L’individu ne sait jamais si, oui ou non, el est engagé dans le bons sens. Ignoramus et ignorabimus.
La conscience est un phénomène uniquement humain. Est le propre de la condition humaine, en ce sens qu’elle empreinte de la finitude. Mais elle n’est pas toujours un guide pour l’être humain en quête de sens, puisqu’elle peut aussi l’induire en erreur. A moins d’être perfectionniste, il doit donc accepter que sa conscience soit faillible.
Faire courageusement face a une souffrance au nom de la dignité qu’il se doit.
Le rapport entre l’homme et l’animal est d’une certain manière analogue au rapport que existe entre Dieu et l’homme. Par exemple: un grand signe que la science utilise pour la mise au point d’un vaccin et est sans cesse soumis a toutes sortes de ponctions, n’est pas en mesure de comprendre le sens de sa souffrance, parce qu’avec son intelligence limitée il lui est impossible d’entrer dans le monde des hommes, le seul monde dans lequel sa souffrance est compréhensible.
Ne peut-on imaginer un autre monde possible , un monde au-delà du monde humain, dans lequel la question du sens ultime de la souffrance humaine trouverait une réponse. L’homme est incapable de comprendre le sens ultime de la souffrance humaine parce que, comme l’a dit Albert Einstein “la pensé n’est tout simplement pas en mesure de nous révéler ce qui nous dépasse”.